Patrimoine et transmission : un dîner d’exception !
Moment d’échange passionnant organisé par le Cercle Patrimoine, animé par Carine. Stéphane Molère, président de notre Partenaire Private Equity Valley, a pu partager son expérience, son expertise, et sa vision des investissements familiaux.
“Fais ce que tu veux, mais fais le bien”. Cette phrase, que Stéphane Molère a souvent répétée à ses enfants, s’applique à sa gestion de bon père de famille. Son cabinet, qui compte une quinzaine d’employés en France et en Asie, peut consacrer 40 heures à un client avant d’investir pour lui le moindre centime.
Lorsque l’on est expatrié à Hong Kong, de nombreuses questions se posent. Comment investir, comment éviter des soucis fiscaux, comment transmettre correctement ? Chacun peut évidemment boursicoter dans son coin, au risque de perdre.
“Ne pas essayer de battre les marchés, c’est notre philosophie”, martèle Stéphane. On en revient à une saine gestion des risques. Pour éviter les déconvenues colossales de 2021-2022, que certains ont subies en étant trop gourmands, ou mal conseillés. Gagner 4% sur un an est mieux que perdre 25%.
“La première règle est de connaître les besoins du client”. D’où l’accompagnement personnalisé. Un sur-mesure rassurant, à l’heure où la marche du monde rend la boule de cristal bien opaque.
Autour d’un dîner délicieux au Clarence, orchestré par le chef étoilé Olivier Elzer, les convives écoutent religieusement les explications de Stéphane Molère, et posent des questions parfois pointues. Car il y a là des banquiers, mais aussi des non initiés. Marielle aimerait savoir à quel moment bouger ses investissements avant son retour en Europe. Avant de rentrer ! Pas a posteriori ! Il a réponse à tout, même quand il assume ne pas avoir la science infuse, face aux marchés !
Samuel évoque l’Intelligence artificielle, avec la question que chacun se pose : “Cela va tout changer. Quels investissements ?” Stéphane conseille de penser aux infrastructures qui accueilleront les data.
Benoît évoque les monnaies virtuelles. Stéphane répond qu’il est bon d’en garder, sur un petit pourcentage de son patrimoine.
Le patron de Private Equity Valley est franc, didactique (imaginez que l’auteure de ces lignes, qui n’a jamais travaillé dans la finance, a presque tout compris, mais préfère vous épargner les évocations trop techniques !)
Il est également intarissable, et connaît ses clients par leur prénom.
Marielle, ravie, souhaite reprendre contact avec le cabinet. Stéphane l’est aussi, lui qui n’aime rien plus que le partage et la confiance.
Un formidable moment d’échanges privilégiés, que le Cercle Patrimoine aura à cœur de proposer à ses Partenaires, et surtout ses adhérents.
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Et bien sûr merci à Stéphane Molère, et son acolyte Anne-Séverine Morreale, responsable Partenaires et communication.
